Le Centre Régional d’Histoire de la Résistance et de la Déportation porte la mémoire de la Région de Résistance « R3 » qui correspond aujourd’hui à la partie sud de la région Occitanie (Aude, Aveyron, Gard, Hérault, Lozère, Pyrénées-Orientales). Il se doit de rassembler tout document, objet, permettant de faire vivre cette mémoire et de mieux la faire connaître.

Les objectifs du Centre Régional d’Histoire de la Résistance et de la Déportation reprennent ceux de l’article 2 des statuts de l’association « Culture, Histoire et Mémoires de la Résistance et de la Déportation » du 31 août 2022 qui gère le CRHRD, soit :

 – de perpétuer et de sauvegarder le souvenir de la Résistance et de la Déportation,
 
– de faire connaître l’action de la Résistance française, intérieure et extérieure, le fait concentrationnaire, ainsi que tous les événements de la période 1939-1945 et après…,
 
– de recueillir, conserver tous les documents et objets se rapportant à cette période, d’en favoriser l’étude et d’en permettre la diffusion,
 
– de transmettre les valeurs républicaines,
 
Sans que cela soit exclusif, son intérêt se portera plus particulièrement sur la Région R3.
 
Elle agira par tous les moyens propres à atteindre ses buts, notamment en assurant le contrôle de la gestion d’expositions itinérantes ou permanentes, en organisant des conférences, projections ou publications, et en rassemblant une documentation relative à son objet.

 

Et enfin c’est un lieu de défense des valeurs de la République et d’éducation à la citoyenneté (liberté, démocratie, engagement, tolérance, respect des différences…).

ACTIVITÉS

 

Le CRHRD est partenaire du pass Culture.

ACCUEIL DES SCOLAIRES

DOCUMENTS ET RESSOURCES POUR L’ENSEIGNANT

À LA UNE

L’exposition Buchenwald a été l’occasion de faire de ce camp d’internement un support d’étude du nazisme et de la Seconde Guerre mondiale. Destination de la majorité des déportés du midi de la France, le camp de Buchenwald permet aussi d’introduire en classe des figures locales de la résistance et de réfléchir aux formes de l’engagement.

Par Agnès Arcin

Professeure missionnée DAAC Patrimoine